L’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne formeront qu’une seule chaire
(Marc 10, 7-8)
Lorsque L’AMOUR nous tient, le DOUTE s’en va !

Cette expression est aujourd’hui banalisée par bon notre de personnes qui, dans l’ignorance de soi, j’inflige eux-mêmes souvent trop de peine, soit :
- Par souci de voilà ce faire plaisir sans inclure sa femme ou son mari.
- Par crainte que sa femme ou son mari soit au courant de combien il ou elle gagne à la fin du mois, ou à travers son activité.
- Par ce qu’il ou elle veut faire une surprise à celle-ci, décide délibérément de lui cacher son salaire, pour qu’elle ne remarque rien.
- Ça peut être pour d’autres raisons aussi.
Oui, c’est un risque à prendre au cas où il n’y pas de problème et que l’on s’en sort si bien dans son jeu. Mais alors, le retour n’est souvent pas trop bon à vivre ! Sans oublier que, pendant ce temps, le diable rôde dans le but de saisir une faille pour mieux s’introduire dans votre foyer.
Mon histoire est celle-ci :
Où je travaillais avant, j’avais un très bon salaire : j’avais une autonomie financière, et la liberté de m’offrir tout ce dont je voulais comme je voulais. Alors, j’ai commencé à cacher à ma femme mon salaire, même comme parfois mon secret finissait par être découvert, ce qui engendrait de longue dispute dans la maison au point où on passait de longue durée ensemble sans se dire un mot. Et cela me révoltait tellement que je me donnais toujours raison : << même si je le fais, ce n’est pas toujours pour subvenir aux besoins de la famille ? >> Malheureusement, ce geste bien qu’il soit accompagné de bonne intention, laissait planner le doute à tous les niveaux ; et j’étais chaque fois endetté parce que justement, j’avais contractés une dette pour faire un travail à la maison et que je n’ai pas dis un seul mot à ma femme, je souffrais doublement. Prise au piège et plonger dans mon orgueil d’homme je ne mesurais suffisamment l’ampleur du mal que ça me causait : à moi-même et ma famille. Alors, un dimanche à la rencontre des couples Verbum Dei, j’y étais et toujours seul comme d’habitude, puisqu’elle est toujours empêchée. Mais ce jour, le sujet était justement sur la vie de couple et la façon dont nous gérons nos finances ensemble avec notre Conjoint. Justement un sujet qui m’a troublé au point où je me voyais ruiner par moi-même et pour un raison qui ne valait même pas la peine. Car, je souffrais parceque je voulais ! Et Communiquer avec ma femme sur tout ne changerait rien sur mon projet avenir ; par contre, apporterait un plus à la façon dont nous planifions ou programmons l’avenir selon nos moyens, et en même temps nous met à l’abri de toute frustration ou gêne.
Pour preuve !
Depuis que j’ai repris Conscience et refaire Confiance en mon épouse, en lui reconfiant tout, alors bien tout, je suis redevenue un homme Libre : financièrement, émotionnellement. Car tout se joue dans la tête ! Et grâce à la Prière, on peut y arriver.
Aujourd’hui je fais un travail où on me paye 50000 Frcfa le mois ; mais, je suis plus à l’aise que hier où je touchais 250000 Frcfa le mois avec mon ancien employeur.
Comme pour dire : << Lorsque la Confiance gagne du terrain dans le Foyer, l’harmonie s’installe automatiquement. >>
Voici trois astuces pour nous aider à maintenir l’harmonie dans notre foyer :
De ces trois Astuces, un est cité deux fois !
- Prier beaucoup.
- Écouter plus et parler moins.
- Communiquer plus entre vous.
- Prier beaucoup.
Je l’ai fais hier, et aujourd’hui encore. Ça marche à merveille !
Une Anecdote :
Lorsque je faisais tout mon désordre là, ma femme elle, priait beaucoup hein ! Et même si sa Prière là m’a beaucoup secouée, je suis qu’à même resté debout. Et sans vous mentir, sans elle, je serais peut être en prison aujourd’hui.
C’est une autre Histoire…..
Monsieur, Madame, pour votre bien-être émotionnel, et votre bonheur économique, Aimez pour l’harmonie dans votre Foyer. Et lorsque vous êtes dépassé par les évènements, << Priez >>; au lieu de chercher à vous venger. Car, Dieu nous écoute toujours, surtout, lorsque nous sommes désespérés.